La peluche est souvent classifiée comme un objet qui en soit est inutile dans la mesure où dans le sens strictement pratique, il ne revêt aucune fonction. Le doudou prend pour l’enfant le rôle d’un véritable soutien, un ami de jeu et de vie. Avoir SA peluche avec lui, son doudou, est rassurant pour l’enfant qui conserve ainsi un lien avec ses proches, avec sa maison lorsqu’il se retrouve à la crèche, à l’école ou ailleurs. La passion pour les peluches ne s’arrête d’ailleurs pas à l’âge adulte et bon nombre deviennent des collectionneurs d’oursons.
En France, en 2000, sur une production totale de jeux et jouets de 874,1 millions d'euros, les jouets en peluche représentent 4,5% du marché ; 8,2% des exportations et 7,3% des importations de ce secteur. En termes de consommation, les jouets en peluche représentent :
· en France : 5,4% des achats de jouets en 2000 (soit 164,7 millions d'euros),
· en Europe : 6,5% des achats de jouets en 2000,
· dans le Monde : 12% des achats de jouets en 1999.
Le bébé, dès sa naissance, est entouré par une cohorte de jouets, dits de premier âge. Parmi ceux-ci, la peluche occupe une place considérable. Elle est le premier compagnon de bébé, et l'accompagnera durant de longues années.
La période allant de 1906 à 1908 est considérée comme l'apogée des ours en peluche ; ce sont les « années Teddy Bear ». Les Allemands sont alors les plus gros producteurs d'ours, qu'ils exportent principalement. En 1907, des ours en peluche fine, articulés, avec ou sans voix, sont proposés dans les catalogues. La Première Guerre mondiale bouleverse le marché de la peluche et entraîne la fin du monopole allemand dans l'industrie du jouet, et l'apparition de nouvelles firmes, principalement en France et en Grande-Bretagne. On voit donc apparaître de nouveaux matériaux.
La Seconde Guerre mondiale modifie une fois encore l'industrie du jouet et suscite de nouvelles modifications des ours. Rapidement, de nouveaux fabricants s'implantent ; d'autres reprennent leur activité. Tous révolutionnent la fabrication des peluches. Les fibres synthétiques, bon marché et plus hygiéniques, remplacent les matériaux naturels.
L'hygiène et la sécurité étant au centre des préoccupations des fabricants. Dans les années 1960-1970, la demande croissante de peluches nécessitent une main d'oeuvre abondante et bon marché, que seuls les pays asiatiques peuvent fournir. Ils deviennent dès lors prédominants dans ce secteur de production. Cette demande entraîne également une industrialisation de la production.
Bien que l'ours soit l'animal le plus représenté en peluche, d'autres animaux sont reproduits. Les personnages de dessins animés ou de contes constituent également une importante source d'inspiration pour les fabricants. Les peluches à licence font le bonheur des petits : Marsupilami, Pokemon, Teletubbies, Winnie l'Ourson... : chaque film ou série télévisée suscite la réalisation de produits dérivés.
Toutefois, en ce début de 3e millénaire, ces peluches traditionnelles, douces, silencieuses, ne sont plus seules sur ce marché. Dans les années 1990, les nouvelles technologies ont été introduites dans les peluches, permettant à celles-ci de parler, de reconnaître la voix de l'enfant, de changer de couleur dans l'eau... Depuis peu, des peluches interactives, bourrées de composants électroniques, se sont imposées.
L'attachement à la peluche permet la création de liens affectifs par le toucher, parce qu’elle rappelle la mère et se substitue à elle pour le rassurer pendant l'absence, et par l'odorat. Le doudou, que l’enfant suce et traîne partout, est imprégné de son odeur. Il n'en est que plus important dans la vie du jeune enfant.
La peluche remplit également des fonctions de consolateur auprès des enfants de 2 à 4 ans. L'ours est le support de tous les jeux. Les enfants projettent leur personnalité sur lui ; ils évacuent leurs chagrins, leurs ennuis en les lui racontant. Ce comportement est éducatif ; en effet, en faisant participer son ours à ses activités, l'enfant, d'éduqué, devient éducateur.
La peluche intervient également sur le développement sensorimoteur de l'enfant. En effet, celui-ci élabore, dès les premiers mois de son existence, les structures de base de ses facultés futures grâce aux stimulations de son environnement. Elle éveille par la suite chaque sens de l'enfant. Les gestes et mimiques de l'enfant lui permettent de découvrir la notion essentielle qu'est le toucher. De plus, les doudous sont souvent de couleurs et de formes vives. Ils attirent l'attention, et développent la vue.
En France, en 2000, sur une production totale de jeux et jouets de 874,1 millions d'euros, les jouets en peluche représentent 4,5% du marché ; 8,2% des exportations et 7,3% des importations de ce secteur. En termes de consommation, les jouets en peluche représentent :
· en France : 5,4% des achats de jouets en 2000 (soit 164,7 millions d'euros),
· en Europe : 6,5% des achats de jouets en 2000,
· dans le Monde : 12% des achats de jouets en 1999.
Le bébé, dès sa naissance, est entouré par une cohorte de jouets, dits de premier âge. Parmi ceux-ci, la peluche occupe une place considérable. Elle est le premier compagnon de bébé, et l'accompagnera durant de longues années.
La période allant de 1906 à 1908 est considérée comme l'apogée des ours en peluche ; ce sont les « années Teddy Bear ». Les Allemands sont alors les plus gros producteurs d'ours, qu'ils exportent principalement. En 1907, des ours en peluche fine, articulés, avec ou sans voix, sont proposés dans les catalogues. La Première Guerre mondiale bouleverse le marché de la peluche et entraîne la fin du monopole allemand dans l'industrie du jouet, et l'apparition de nouvelles firmes, principalement en France et en Grande-Bretagne. On voit donc apparaître de nouveaux matériaux.
La Seconde Guerre mondiale modifie une fois encore l'industrie du jouet et suscite de nouvelles modifications des ours. Rapidement, de nouveaux fabricants s'implantent ; d'autres reprennent leur activité. Tous révolutionnent la fabrication des peluches. Les fibres synthétiques, bon marché et plus hygiéniques, remplacent les matériaux naturels.
L'hygiène et la sécurité étant au centre des préoccupations des fabricants. Dans les années 1960-1970, la demande croissante de peluches nécessitent une main d'oeuvre abondante et bon marché, que seuls les pays asiatiques peuvent fournir. Ils deviennent dès lors prédominants dans ce secteur de production. Cette demande entraîne également une industrialisation de la production.
Bien que l'ours soit l'animal le plus représenté en peluche, d'autres animaux sont reproduits. Les personnages de dessins animés ou de contes constituent également une importante source d'inspiration pour les fabricants. Les peluches à licence font le bonheur des petits : Marsupilami, Pokemon, Teletubbies, Winnie l'Ourson... : chaque film ou série télévisée suscite la réalisation de produits dérivés.
Toutefois, en ce début de 3e millénaire, ces peluches traditionnelles, douces, silencieuses, ne sont plus seules sur ce marché. Dans les années 1990, les nouvelles technologies ont été introduites dans les peluches, permettant à celles-ci de parler, de reconnaître la voix de l'enfant, de changer de couleur dans l'eau... Depuis peu, des peluches interactives, bourrées de composants électroniques, se sont imposées.
L'attachement à la peluche permet la création de liens affectifs par le toucher, parce qu’elle rappelle la mère et se substitue à elle pour le rassurer pendant l'absence, et par l'odorat. Le doudou, que l’enfant suce et traîne partout, est imprégné de son odeur. Il n'en est que plus important dans la vie du jeune enfant.
La peluche remplit également des fonctions de consolateur auprès des enfants de 2 à 4 ans. L'ours est le support de tous les jeux. Les enfants projettent leur personnalité sur lui ; ils évacuent leurs chagrins, leurs ennuis en les lui racontant. Ce comportement est éducatif ; en effet, en faisant participer son ours à ses activités, l'enfant, d'éduqué, devient éducateur.
La peluche intervient également sur le développement sensorimoteur de l'enfant. En effet, celui-ci élabore, dès les premiers mois de son existence, les structures de base de ses facultés futures grâce aux stimulations de son environnement. Elle éveille par la suite chaque sens de l'enfant. Les gestes et mimiques de l'enfant lui permettent de découvrir la notion essentielle qu'est le toucher. De plus, les doudous sont souvent de couleurs et de formes vives. Ils attirent l'attention, et développent la vue.
4 commentaires:
La peluche évolue énormément pour le plaisir de nos bambins
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