La France compte près de 300 sites de loisirs, dont 30 % de parcs d’attractions et parcs à thème, 30 % de parcs animaliers, 30 % de sites ludo-éducatifs et 10 % de parcs aquatiques. Les parcs de loisirs ont enregistré une hausse de leur activité à deux chiffres cet été. Le nombre de visites annuelles est estimé à environ 70 millions dont 24% consacrées aux parcs d’attractions, 23% aux parcs animaliers, 16% aux aquariums, 12% aux parcs à thème à vocation culturelle et 11% aux parcs aquatiques. Les clientèles étrangères pèsent pour 15% environ du total des entrées.
D'après une étude de l'Agence Française de l'Ingénierie Touristique (AFIT), un Français sur deux serait aujourd'hui consommateur de ce type de produit et les Français se rendraient en moyenne 3 fois par an dans un parc de loisirs. Mais la consommation semble aujourd'hui se stabiliser. Le marché français est dominé par trois parcs à audience nationale ou internationale (Eurodisney, Planète Futuroscope, Astérix). De nouveaux parcs ont vu le jour, comme Walt Disney Studios à Disneyland Resort Paris, en 2002, ou le Bioscope en 2006. D’autres ont procédé à des extensions comme la Cité de l’Espace. Le marché des parcs de loisirs représente un CA de 2 milliards d'euros.
Après plus de 15 ans de croissance exponentielle, le marché de ce secteur entre dans une phase de maturité dans un contexte de concurrence renforcée et de développement de nombreux produits de substitution. Les parcs ont multiplié les initiatives (investissements dans de nouvelles attractions, accroissement de l'offre hôtelière...) pour maintenir leurs positions voire gagner des parts de marché. Le secteur a dépensé 700 millions d’euros depuis 2006 pour renouveler l’offre.
On assiste à la concentration de nombreux équipements au sein de groupes européens, comme la Compagnie des Alpes. En 2004, les 5 plus grands parcs de loisirs français concentraient plus de 85 % des flux de clientèle, et seulement une quinzaine de sites enregistraient plus de 300 000 visites annuelles. Sur ce marché très concurrentiel, les parcs à vocation scientifique ou pédagogique rencontrent davantage de difficultés.
Si la fréquentation tend à se stabiliser, l’allongement de la durée de visite, la qualité des prestations proposées de même que le renouvellement de l’attractivité favorisent l’augmentation du chiffres d’affaires. Les parcs comptent également de plus en plus sur la consommation sur place des visiteurs dans les boutiques et restaurants, et sur les revenus annexes comme les redevances et revenus de crédits-bail des hôtels. En 2004, la vente des billets ne représentait plus que la moitié du chiffre d'affaires des grands parcs.
D'après une étude de l'Agence Française de l'Ingénierie Touristique (AFIT), un Français sur deux serait aujourd'hui consommateur de ce type de produit et les Français se rendraient en moyenne 3 fois par an dans un parc de loisirs. Mais la consommation semble aujourd'hui se stabiliser. Le marché français est dominé par trois parcs à audience nationale ou internationale (Eurodisney, Planète Futuroscope, Astérix). De nouveaux parcs ont vu le jour, comme Walt Disney Studios à Disneyland Resort Paris, en 2002, ou le Bioscope en 2006. D’autres ont procédé à des extensions comme la Cité de l’Espace. Le marché des parcs de loisirs représente un CA de 2 milliards d'euros.
Après plus de 15 ans de croissance exponentielle, le marché de ce secteur entre dans une phase de maturité dans un contexte de concurrence renforcée et de développement de nombreux produits de substitution. Les parcs ont multiplié les initiatives (investissements dans de nouvelles attractions, accroissement de l'offre hôtelière...) pour maintenir leurs positions voire gagner des parts de marché. Le secteur a dépensé 700 millions d’euros depuis 2006 pour renouveler l’offre.
On assiste à la concentration de nombreux équipements au sein de groupes européens, comme la Compagnie des Alpes. En 2004, les 5 plus grands parcs de loisirs français concentraient plus de 85 % des flux de clientèle, et seulement une quinzaine de sites enregistraient plus de 300 000 visites annuelles. Sur ce marché très concurrentiel, les parcs à vocation scientifique ou pédagogique rencontrent davantage de difficultés.
Si la fréquentation tend à se stabiliser, l’allongement de la durée de visite, la qualité des prestations proposées de même que le renouvellement de l’attractivité favorisent l’augmentation du chiffres d’affaires. Les parcs comptent également de plus en plus sur la consommation sur place des visiteurs dans les boutiques et restaurants, et sur les revenus annexes comme les redevances et revenus de crédits-bail des hôtels. En 2004, la vente des billets ne représentait plus que la moitié du chiffre d'affaires des grands parcs.
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