Les consommateurs adorent, les fabricants et les distributeurs s’en servent de plus en plus pour conquérir de nouveaux marchés ou monter des opérations évènementielles. Selon la 1ère édition du baromètre Kazachok, réalisé par l’institut des mamans, 97% des foyers français avec enfant de moins de 14 ans possèdent des produits dérivés. En effet, les parents veulent avant tout faire plaisir à leurs enfants en leur offrant les produits à l’effigie de leurs héros. Certaines licences ont bercé l’enfance des parents actuels, qui s’orientent ensuite naturellement vers ces personnages pour faire plaisir à leurs enfants.
Les secteurs les plus touchés par ce phénomène sont le jouet, le textile et l’édition. Winnie, est, toujours selon l’étude de Kazachok, le personnage le plus présent dans les foyers français, suivi de près par Spiderman et Dora l’exploratrice. Winnie est devenu transgénérationnel et possède également l’avantage de plaire à la fois aux filles et aux garçons. Charlotte aux fraises figure en 4e position alors que le dessin animé n’est même pas diffusé à l’écran. Titeuf se trouve à la 5e place grâce à son actualité toujours aussi forte : 12e tome de la série de bandes dessinées, le jeu « Le Zizi Sexuel », exposition Titeuf à la Villette, 2e saison à la TV… Des nouveaux venus sont également attendus avec impatience comme « Kung Fu Panda », « Wall-E », « Speed Racer »… On note également le retour de « Harry Potter », « Batman », « Indiana Jones », « Hulk » et « Madagascar », toujours très appréciés.
Dans six secteurs d’activités, les licences touchent plus de la moitié des foyers avec enfants. Le jouet reste en tête avec un taux de pénétration de 74%, suivi de près par le textile (70%) et l’édition (68%). On trouve ensuite les fournitures scolaires (59%), les jeux (52%), les jeux vidéo (50%), le linge de maison (42%), la chaussure (39%), l’hygiène et le soin (30%) et enfin la puériculture (12%). Les gammes deviennent transversales et les contrats se négocient au plus haut niveau. Les distributeurs ou fabricants recherchent l’exclusivité et un impact de la communication plus important.
La croissance des licences est bel et bien perenne car elle correspond à une évolution du comportement des consommateurs et représentent un levier extraordinaire en matière de créativité produit, de différenciation et de marketing. Cependant, aujourd’hui les ayant-droits proposent de plus en plus de licences. Ils cherchent à créer un programme de produits dérivés pour toutes les séries télévisées qui sortent. Mais imposer une nouvelle licence devient de plus en plus difficile car la licence doit faire ses preuves pour que les consommateurs la choisissent.
Les secteurs les plus touchés par ce phénomène sont le jouet, le textile et l’édition. Winnie, est, toujours selon l’étude de Kazachok, le personnage le plus présent dans les foyers français, suivi de près par Spiderman et Dora l’exploratrice. Winnie est devenu transgénérationnel et possède également l’avantage de plaire à la fois aux filles et aux garçons. Charlotte aux fraises figure en 4e position alors que le dessin animé n’est même pas diffusé à l’écran. Titeuf se trouve à la 5e place grâce à son actualité toujours aussi forte : 12e tome de la série de bandes dessinées, le jeu « Le Zizi Sexuel », exposition Titeuf à la Villette, 2e saison à la TV… Des nouveaux venus sont également attendus avec impatience comme « Kung Fu Panda », « Wall-E », « Speed Racer »… On note également le retour de « Harry Potter », « Batman », « Indiana Jones », « Hulk » et « Madagascar », toujours très appréciés.
Dans six secteurs d’activités, les licences touchent plus de la moitié des foyers avec enfants. Le jouet reste en tête avec un taux de pénétration de 74%, suivi de près par le textile (70%) et l’édition (68%). On trouve ensuite les fournitures scolaires (59%), les jeux (52%), les jeux vidéo (50%), le linge de maison (42%), la chaussure (39%), l’hygiène et le soin (30%) et enfin la puériculture (12%). Les gammes deviennent transversales et les contrats se négocient au plus haut niveau. Les distributeurs ou fabricants recherchent l’exclusivité et un impact de la communication plus important.
La croissance des licences est bel et bien perenne car elle correspond à une évolution du comportement des consommateurs et représentent un levier extraordinaire en matière de créativité produit, de différenciation et de marketing. Cependant, aujourd’hui les ayant-droits proposent de plus en plus de licences. Ils cherchent à créer un programme de produits dérivés pour toutes les séries télévisées qui sortent. Mais imposer une nouvelle licence devient de plus en plus difficile car la licence doit faire ses preuves pour que les consommateurs la choisissent.
Répartition selon les univers d'origine
- Loisirs : 26 %
- Mode : 23 %
- Marques : 19 %
- Sport : 14 %
- Arts : 9 %
- Autres : 9 %
Part des ventes de produits sous licence en France par secteur
- 28 % de l’habillement/accessoire
- 25 % de la carterie/édition
- 14 % des jouets et des jeux vidéo
- 11 % de l’agroalimentaire
Chiffre d’affaires des produits sous licence
- CA mondial : 127,36 milliards d’euros
- CA hexagonal : 530 millions d’euros
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